mercredi 24 novembre 2010

Jeu de boules, Jeu de maboules...


Inspiration spontanesque !

En ce jour de grâce de l’an deux mille dix je dois dire que j’ai les boules.
Qui est-ce qui a les boules (en anglais : les boules Quiès) ? 

C’est moi, c’est toi, c’est nous.

Car c’est clair, pas des fines de claire, parce que dans les huîtres ce sont des perles, pas des boules.

Mais c’est clair: nous avons les boules.

J’ai les boules d’avoir les boules.
J'ai les boules que tu aies les boules.
J’ai les boules que tu m'aies foutu les boules.
J’ai les boules de t'avoir foutu les boules.

Bien sur cela s’explique :
Si tu ne m’avait pas foutu les boules, je ne t'aurai pas foutu les boules (et lycée de Versailles).

Certainement cela s’admet.
Je comprends que tu aies les boules, mais tu dois comprendre que je les ai eu aussi.

Evidemment ce n’est pas futé.
Nous avons l’air de deux cons à jouer avec nos boules.

Indiscutablement c’est rentable.
Tu joues avec ma boule et ça me file deux boules, tu sors tes deux boules du chapeau et ça nous fait quatre boules.
C’est pas un carré d’as, c’est un poker de nazes.

Ca se reproduit, c’est prolifique, attends encore un peu il y en aura assez pour jouer au billard américain, dans trois jours suffisamment pour organiser un loto, et si tu traînes il va falloir ouvrir un terrain de golf.

Ca fait boule de neige... c'est de saison !

Il faut arrêter l’hémorragie, des p’tites boules, des p’tites boules, toujours des p’tites boules.
C’est plus de la magie, c’est de la boulimie.

C’est clair,  ça s’explique, ça s’admet, c’est pas futé, c’est rentable.
Peut-être mais ça n’empêche c’est con d’avoir les boules...


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La Pensée du jour
Keep cool raoul, tu m'fous les boules

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